Lutte gréco-romaine

La lutte, quelle qu’elle soit, fait partie de la culture des arts martiaux et constitue le sport le plus populaire, où chacun choisit de frapper le visage de son adversaire ou de le mettre sur la tête.

La lutte gréco-romaine est l’un des sports les plus intéressants. Le but de la lutte est de mettre votre adversaire sur le dos.

Histoire de la lutte

La lutte gréco-romaine est née en Grèce, d’après les dessins sur les vases. On sait également que la lutte a été ajoutée aux Jeux olympiques après l’athlétisme. Non seulement les gens du peuple, mais aussi les plus grands penseurs se sont consacrés à ce sport. La lutte gréco-romaine a joué un rôle prépondérant dans le développement de tout grec ancien.

Mais l’histoire a surnommé la lutte gréco-romaine « française ». Pourquoi ? C’est parce qu’un ensemble particulier de règles a émergé en France. Ils étaient si clairement formés que le nom même du duel a été conservé jusqu’en 1948. Puis l’ancien nom lui a été rendu.

Le premier championnat de lutte a eu lieu à Vienne, en 1898.

Règles de la lutte

Le temps standard alloué à un combat est de trois minutes, donc deux fois par match. Entre le premier et le deuxième combat, l’athlète se repose pendant une demi-minute.

La victoire revient à celui qui le fait tomber sur ses omoplates sur le tush (tapis de lutte).

En cas d’égalité, un temps est accordé pour déterminer le lutteur le plus fort.

Les points peuvent être attribués soit pour la victoire, soit pour les infractions.

Le sport olympique de la lutte gréco-romaine

Qu’est-ce qui est interdit ?

  • Attraper le cou de l’adversaire avec les deux mains.
  • Frapper l’adversaire.
  • Enduisant le corps de quelque chose de glissant.
  • Parler à votre adversaire.
  • Contester la décision de l’arbitre.

Sur le lieu, les conditions et la forme du combat

La touchette est un matelas carré, qui est recouvert de vinyle. La longueur des côtés est de 12 m, et le tapis a une épaisseur de quatre centimètres, voire plus.

Le combat se déroule sur un cercle appelé « aire de compétition ». Le grand cercle a un diamètre de près de 9 mètres, et à l’intérieur le cercle rouge est plus petit, 1 mètre de diamètre. La « zone passive » est un cercle rouge d’un diamètre de 11 m, entouré de la « zone de compétition ».

Avant de commencer le combat, l’arbitre doit vérifier :

  • Les jambes des lutteurs doivent être rasées ou coupées court.
  • Les cheveux sur la tête doivent être coupés courts ou éloignés du visage.
  • La barbe n’est pas autorisée, seule une barbe déjà développée est autorisée.
  • Niveau de transpiration. Le lutteur ne doit pas être en sueur.

Exigences uniformes :

  • Les uniformes des concurrents de couleurs différentes – l’un en rouge, l’autre en bleu – doivent être de couleur uniforme. Tout cela selon le modèle FILA.
  • Le lot décide de qui obtient quel uniforme.
  • Les chaussettes et les socquettes doivent être de bonne qualité et ne pas laisser les pieds transpirer.
  • Le couvre-chef des lutteurs est fabriqué selon le modèle FILA, sans pièces rigides.
  • Les mouchoirs ne sont plus utilisés couramment, mais ils peuvent servir à essuyer la sueur ou le sang.

Conclusion

La lutte gréco-romaine est un sport approuvé comme sport olympique. Il convient aux personnes robustes et fortes de tous horizons. Il existe depuis des siècles et reste un sport très populaire, même à l’époque moderne. La lutte développe la force du corps et de l’esprit, ce qui signifie qu’elle convient même aux enfants, mais seulement à ceux qui sont capables de comprendre les règles.